Les poème de la session "jeux"

Un fois dans les bois
Les chiens étaient aux abois
Jusqu'a que W-S qui etait remplie d'effoie
Éternua une bonne fois
Pour toute
les gouttes
Qui ont pu tomber, très lentement
tandis que je dansais gracieusement
sur l'oreille d'un elephant
Nous trouvons evidemment
tout cela amusant
et fort hallucinant
Avec tout ses rime en "ant"
qui nous casse les dents
Je trouve sa tres exitant
et surtout surprennant
Quand Mio se brosse les dents
EH ! C'est méchant !
Dit elle en souriant et en nous montrant ses jolies dents
Tien ? il devient gentil maintenant ?
Hé oui ! Il faut un début à tout
meme chez les hiboux
Mange toujours un bout
en faisant un drole de glouglou
Avec un gateau mou
ils peterent un coups
dans le cou
de notre petite chuu
qui sauta aussi haut qu'un poux
Qui faisait les yeux doux
en regardant la lune
qui était brune
et a moitier cacher par la brume
Elle fume
la fumée autour d'elle virevolte comme une plume
elle etouffe !!

Au fin fond de l'univers
Dans une planète fait d’éthére
Nous flottions tous dans les airs
Quand nous étions sur cette terre !
Tout était si brillant
Et ses les yeux étaient larmoyant
En voyant tout ses beaux diamants
Il quitta se monde lentement

Lors d'une fête
Dans un milieu champetre
C'est une bouteille à la main
Qu'ils attendais mains dans la mains
La journée de demain
Qui leur promettait une mort
affreuse et plein de tord
Plus jamais il ne pourrait sortir dehors

Allongé sur son lit
Il regardait tomber la pluie
et poussa soudainement un cris
Un pétale de fleurs par la fenêtre était entré
Et l'avait fait sursauté
C'est alors qu'épouvanté
il s'accroupit et mis ses main sur ces oreillles
Et commença a pleurer

Nuit d'encre
Soleil de plomb
Etoile scintillante
Ciel calme
Lune ronde
Nuage en coeur
Opposé

Perdu au fond de ta prison
Le regards absent
Tu souffre mais tu tien bon
Ta respiration lentement
ralentit sous la pression
Que sur toi s'exerce le temps
Et tu obtiendra la délivrance

Il pleut
La pluie est légère
Et alors que dehors
Aussi imperceptible que l'air
La petite fleur veut éclore
La pluie reste douce mais le vent s'énerve
Et la petite fleurs que lentement son corps
semble abandonner alors
O souffle de la vie

La poesie, les rimes
Nous plonge au plus profonds
Des abîmes
Cherchant désespérément l'inspiration
Derrière un pseudonyme
Nous essayons a notre façons
De trouver la solution
A la folie et la déraison

Immortalité
La mort en ai le commencement
Ceux qui l'on cherché
On tous échoué lamentablement
Ils ont finalement décidé d'abandonnés
Certain s'accroche encore désespérément
A ce rêve inavoué ,
L'Immortalité !

Ils savent se que sont les enfers
Ceux qui par leurs pêchés ont sombré
Ceux qui ne savaient que faire
Ceux qui sur Terre des vies ont ôté
Ceux qui ne connaissent que la douleur
Ceux qui la mort ont vus passé
Ils on aperçut le bonheur
Et ont trépassé

Un jour, il m'as offert un rose
C'était un matin d'automne
Il était allé voir quelque chose
Dans cette matinée monotone
C'est aujourd'hui, qu'il est parti, qu'il m'as laisser là
Les années mon frippé telle une pomme
Et maintenant je suis seule, j'ai froid
Désespérément je cherche , pour mon coeur , une baume
Maintenant je pleure, je suis triste
Laissée dans cette univers chaotique
j'abandonne et je tombe